Impact sur la santé publique par Claude

L’impact sanitaire des véhicules électriques doit être analysé de manière globale au regard des déterminants multiples de la santé publique.

L’absence d’émissions polluantes locales améliore significativement la qualité de l’air, en particulier dans les zones urbaines denses. Ceci réduit l’exposition aux particules fines, oxydes d’azote et autres composés toxiques émis par les moteurs thermiques. Les effets positifs sont thus attendus sur les maladies respiratoires et cardiovasculaires.

Cependant, la pollution sonore liée au trafic reste problématique avec les véhicules électriques, malgré leur fonctionnement plus silencieux. Leur poids accru génère également davantage d’émissions de particules liées à l’abrasion des pneus, des freins et du revêtement routier.

Les risques spécifiques des batteries, de l’électrification et des champs électromagnétiques nécessitent une vigilance quant à de potentiels effets sanitaires à moyen/long terme.

En termes de santé publique, l’impact dépendra également de l’évolution des usages : maintien de la place prépondérante de la voiture individuelle ou report modal vers les mobilités actives (marche, vélo) bénéfiques pour l’activité physique et la lutte contre la sédentarité.

Une approche holistique est donc essentielle pour objectiver les bénéfices mais aussi les potentiels risques sanitaires des véhicules électriques par rapport aux solutions existantes.

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